Je porte l'espace sur ma tête et sous mes pieds. Le temps est au bord d'illuminer la surface précise de mon corps au moment même où submergé par ce qui en moi est beau, idiot et fou, je crache à la gueule de cet autre qui n'a jamais appris à vivre sans la passion à ses trousses. Merde. Je me vide. Je me vide. Je me... vis vis vis vide. Vivant mort décapité par les morts-vivants, crevant de cette vie à bout de souffle qui me remplit me vide me remplit me vide me remplit m'évide m'étripe m'attrape m'étouffe m'attaque me crève. Chienne, Salope, une fois de plus tu auras ma peau.