Il n’est rien que j’abomine et que j’exècre tant que cette idée de spectacle, de représentation, donc de virtualité, de non-réalité, attachée à tout ce qui se produit et que l’on montre. Conversations à distance, transfert de la pensée à travers les espaces, pétrissage spatial du corps. Je me suis, moi, habitué à les voir, et cela m’a donné une excellente idée de l’occulte où je ne veux plus voir autre chose que le lavatory, la chambre à partouze, la tranchée, la latrine publique